Marie-Antoinette vient d’une famille nombreuse. Pour être nombreuse il faut dire que cité l’intégralité de ses frères et sœurs qui l’ont précédé seraient bien long surtout qu’il faudrait noté ceux mort avant l’âge adulte ainsi que les différentes alliances. Il y a une personne dont la disparition l’a bouleversé alors qu’elle n’était âgée que de quatorze ans c’est la disparition de François Ier, compagnon de sa mère qui la laissait donc veuve. C’est d’ailleurs dès cet évènement que la souveraine décida de prendre la vie de ses enfants en main et de se servir de leur mariage pour mettre en place des alliances nécessaires. Peu importe l’âge de ces enfants, le mariage était la chose dont tous n’eurent guère le choix quoique seul l’un des enfants de Marie-Thérèse eut le choix de se marier avec un époux qu’elle aimait. D’ailleurs elle était considéré comme l’enfant préféré de l’impératrice. Une fois que l’on sait cela on comprend tout de suite pourquoi il fut possible pour elle de ne pas avoir de mariage arrangé ou forcé. Cette enfant préférée n’était autre que Marie Christine, une sœur aînée parmi tant d’autres de Marie-Antoinette. Pour elle se sera le dauphin de France, Louis XV semble du même avis que l’impératrice d’Autriche et accepte l’union à la seule condition que sa future belle-fille sache parler couramment français. Vu l’apprentissage un peu médiocre de cette dernière, sa mère se voit alors dans l’obligeance de mettre à disposition de sa fille, quelqu’un qui saura se charger d’elle et parfaire son éducation afin qu’elle soit prête pour l’union qu’elle souhaite faire avec le royaume français. Le 7 février de l’année 1770 tout est réglé et elle est fin prête pour le mariage. Le 19 avril de la même année un mariage par procuration est prononcé. Elle quitte alors deux jours plus tard soit le 21 avril Vienne pour ne plus y revenir. Son passage en France est alors surprenant pour la jeune fille de quatorze ans qu’elle était. Elle ignorait alors qu’en étant prête à remplir les demandes de sa mère, elle allait devoir laisser tout de son pays natal. La séparation entre servante, amies et bien personnels fut fort difficile pour Marie-Antoinette.  Ainsi commença la vie française de la future reine de France.